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Ignatien > Soeurs de la doctrine chrétienne |
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En 1717, l’évêque de Toul confie à Jean-Baptiste Vatelot, chanoine de la cathédrale, le soin d’organiser les « petites écoles » dans son diocèse. Le Père Vatelot fonde alors une «Mère-Ecole» où les « sœurs maîtresses» seront formées pour ; ainsi que pour le soin des pauvres malades. Les futures maîtresses recevront une formation spirituelle solide. Elles n’auront pas de clôture; vivront au cœur des villages, mais se réuniront à la «Mère-Ecole», chaque année, pour une retraite. A la mort du Père Vatelot en 1748 la petite association comptera une centaine de membres, 300 à la fin du siècle.Au 19e siècle, après la dispersion de la Révolution, l’Institut connaîtra un nouveau départ, grâce notamment à Mère Pauline de Faillonnet (Supérieure générale de 1821 à 1855) : reconnaissance officielle par l’évêque de Nancy et de Toul, émission de vœux publics, intensification de la formation (initiale, religieuse et professionnelle), fondations en Algérie, Belgique, Grand-Duché de Luxembourg… « Ancrées en Dieu et proches des hommes », les Sœurs de la Doctrine Chrétienne s’inspirent de la spiritualité ignatienne et des courants de l’Ecole française. Au dernier Chapitre, deux accents traditionnels qui ont qualifié
leur présence au monde depuis les origines, ont été
de nouveau soulignés, comme défis pour le monde actuel :
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A noter |
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